Vieux pots et confitures
Posté : 29 sept. 2015
J'entends bien le long son du vent des temps écoulés, mouvants entre les fibres d'un espace égaré non perdu pour ceux qui savent tendre une oreille à laquelle murmure des souvenirs réels ou supposés d'héroïques instants de gloire éternelle.
Ici, c'est les vieux pots, pas de tube du moment, ni de roucoulement hare et bi chuintant de voix nasillardes évoquant les souffrances romantiques d'un jeune werters original en train de fondre sur le glacier brûlant d'un possible exultant un désir inouï tant il n'est point encore formé.
Non, ici c'est du concret qui a coulé dans les oreilles curieuses et ouvertes, du jus de cages à miel emplies de drogues naturelles et synthétiques, d'alcools classieux et détergents, de péripéties mélodiques astucieusement copiées/collées dans le grand amoncellement du monde, de rythmes battus par des barbus bouffant des chipsters au petit déjeuner et se lavant à la bière belge, pas moins de 9 degrés, de jeunes ambitieux aux cheveux longs vieux aujourd'hui lorsqu'ils ont survécu, de solitaires en meutes, de meutes en moselles et jean passe moi le oinj.
Je commence pour donner le las d'une modernité morte à la fin du début de chaque ancienneté, de la confiture douce et amer pour des instants suspendus.
Quel groupe mieux dénommé que THE ZOMBIES pour amorcer le thread (oui je connais des mots modernes/anglais/porteurs de sens/ mettre une expression de son choix) et j'ai bien évidement résisté à la tentation d'ouvrir par du Dylan, qui aura sans doute sa part de ouich aussi, selon vos futurs partages de vieilles breloques interlopes.
https://www.youtube.com/watch?v=qzpPy9hJYA8
Ici, c'est les vieux pots, pas de tube du moment, ni de roucoulement hare et bi chuintant de voix nasillardes évoquant les souffrances romantiques d'un jeune werters original en train de fondre sur le glacier brûlant d'un possible exultant un désir inouï tant il n'est point encore formé.
Non, ici c'est du concret qui a coulé dans les oreilles curieuses et ouvertes, du jus de cages à miel emplies de drogues naturelles et synthétiques, d'alcools classieux et détergents, de péripéties mélodiques astucieusement copiées/collées dans le grand amoncellement du monde, de rythmes battus par des barbus bouffant des chipsters au petit déjeuner et se lavant à la bière belge, pas moins de 9 degrés, de jeunes ambitieux aux cheveux longs vieux aujourd'hui lorsqu'ils ont survécu, de solitaires en meutes, de meutes en moselles et jean passe moi le oinj.
Je commence pour donner le las d'une modernité morte à la fin du début de chaque ancienneté, de la confiture douce et amer pour des instants suspendus.
Quel groupe mieux dénommé que THE ZOMBIES pour amorcer le thread (oui je connais des mots modernes/anglais/porteurs de sens/ mettre une expression de son choix) et j'ai bien évidement résisté à la tentation d'ouvrir par du Dylan, qui aura sans doute sa part de ouich aussi, selon vos futurs partages de vieilles breloques interlopes.
https://www.youtube.com/watch?v=qzpPy9hJYA8